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« Notre amour était mon seul arme
                                     Aujourd’hui  j’ai que des larmes
Notre confiance  était le seul accord
                    Maintenant le doute tue votre propre âme
J’ai compris votre jalousie mais
                            N’oublies pas que je suis une femme
Une femme amoureuse de toi ,fidèle
                        Et surtout confiante à toi et à moi-même
Oublies les paroles ,et les critiques des autres
         Laisses nous vivre une histoire pleine de charme
Pardonnes moi de tous ce que j’ai fait
                                 Stp pardonnes votre futur dame  »
Elle m’ a dit;
J’ai répondu:
  « personne ne mérite tes larmes
             Et celui qui les mérite ne fera surement pas pleurer
Sois sur que je te souhaite que de bonheur
             le bonhur… que t'  attends...
                                          avec quelqu'un que  tu admires
  Tu as choisi de jouer  tes cartes au profondeur
                 Et mon jeu était toujours à la hauteur
Tu as détruit ton propre  amour
  Tu m’as perdu pour toujours
                                pour m’oublier    ,  Tu as besoin du temps
                                mêmes les anges ont besoins du temps de repos
cherche quelqu’un qui fait rire ton cœur
moi je ne peux  t’assurer que de malheur
                                           la vie m’a donné une deuxième chance
                                              je vais rattraper mes fautes d’enfance  
tu étais la grande faute de ma vie
tu es la personne que  …………j’ ai pas envie.   »

Abdelkadir BELHADJ
Vivre, avec cette étrange tendance
À pardonner chaque erreur,
À fermer les yeux sur chaque défaut,
À s’accrocher, misérablement à chaque malheur,
À délaisser la vérité,
se convaincre que tout est faux

Tu pardonnes plus vite,
Parce qu’au fond, cela te semble vital,
Leur absence t’est presque invivable,
Alors tu puises dans tes dernières forces
Pour les convaincre de revenir,
Tu t’épuises à réduire cette distance,
Espérant pouvoir revivre.

Tu cours, à en surpasser tes limites,
Au-delà de ce que ton corps peut offrir,
empruntant la route précise
Où ton cœur a pris la fuite

Mais une crainte te rattrape,
La peur que ce chemin t’apparaisse familier,
Une route emprunté mille fois dans le passé,
Où reposent à la fois tes plus  chaleureux souvenirs,
Et tes pires tourments,
Un chemin que tu souhaite coute que coute oublier
Pour enfin  recommencer.

Alors tu cours, encore,
Et la fatigue s’empare de toi
Tu cours, encore,
les cieux se moque de toi

La peur t’envahit,
Quand enfin, tu t’arrêtes devant sa porte,
Tu prétends avoir entendu ton cœur,
Reconnu ses battements.

Dans un dernier souffle,
À bout d’air, frôlant la mort,
Tu lèves les yeux,
Et cette vue devant toi
Vaut bien plus que tout le tourment.
Mais cette vision... est-ce ton cœur que tu retrouves ?
Pourquoi donc ses yeux sont-ils couleur nature ?
rare poems ive written in french . i kept them hidden ,unsure of it's beauty but i've made peace with incertainety .

— The End —