To the girl who sits behind me
On the city bus everyday:
I know they probably say
With your cat-eye and your beehive
That you look like you belong
Way back in the day
But I think you look beautiful,
Even more so yesterday,
When you walked onto the bus
with your hair down wearing tear-stains.
I think you looked best today,
With a messy bun and no makeup
Listening to a song
And laughing
While I tried not to smile

To the guy who wrote the poem for me yesterday:
I know you must work hard,
You come here at six in the morning everyday,
And I don’t know why
But when I look your way I feel safe.
I know you probably hear
That you should take a break
But I know what it’s like
To work hard
Because there’s not another way.
And I know they probably say
With your tattoos and your gages
You don’t look your age
And you shouldn’t have gotten the job,
But I think you look best
At five in the morning
When you’ve just woken up
And you’re sipping coffee
While we wait for the bus
And your hair’s all messy
And your tattoos catch my eye
And I try to read them,
But I don’t want to pry

To the girl who replied to my poem yesterday:
You can read my tattoos
Any time you like
And I think you look best
At six in the morning
When your eyes shine bright
And you sip your coffee
And don’t hide your delight
I like the way
You bite your lip
When you read a book
Or you’re thinking
Or bored,
It drives me crazy
How come we never talk?
Maybe one day,
Instead of poems at bus stops
We could go for a walk.
Well, I have to get off.
Your stop’s in a minute,
Try not to forget it.

To the guy who writes me poems at bus stops:
I feel like I know you better everyday,
But it’s really weird,
Because I don’t know your name
And you don’t know mine,
Which I think is fine,
Because if this turned
Into anything other
Than poems
At bus stops,
I’d probably scare you away
Like everybody else.
Maybe we should stop,
Before we both get hurt.
Signed tearfully,
The girl in the seat behind you

To the girl who told me to go away:
You wouldn’t scare me away,
Not yesterday,
Not today,
Not ever.
Please don’t make me leave
Like everybody else.
Signed hopefully,
The guy who writes poems at bus stops

To the guy who writes poems at bus stops:
My name’s Haley
And sometimes I close my eyes
And wonder what they call you.
I take pictures everyday
And that’s why I’m here at five
Or maybe six
Every morning
To capture the perfect sunrise.
Here’s the picture I got
Yesterday, just in case
You wanted to see.

To Haley,
Who gets up early
To capture sunrises:
My name’s Ryan and
I spend all day crunching numbers,
Praying they don’t crunch back.
The picture was beautiful
And I though that maybe
One day
We could meet for coffee
And turn this into something
More than poems
At bus stops.

To Ryan, the number-cruncher
Who stole my heart:
I’d love to go for coffee
And we can laugh while we talk,
Maybe I can even show you
My favorite place
In Central Park
And we can go for a walk.

Dearest Haley,
Who captures sunrises
And stole my heart:
I can’t believe it’s been
A year since we began
With poems at bus stops
And coffee while we
Watched rain drops and talked about us.
I know this may be too soon,
I pray you don’t think me a fool,
To believe a number-cruncher
And sunrise-capturer
Could have a happily ever after.
But what do you say
We give it a shot
And spend the rest of our lives
Telling our kids
About how a number-cruncher
And a sunrise-capturer
Had a fairytale wedding
And are living their
Happily ever after.

Huit millisecondes
Huit infimes millisecondes
Voici tout ce que Muse
M'a laissé entrevoir
De sa vulve.
Etait-ce par inadvertance
Par bravade ou en toute innocence
Qu'elle m'a autorisé ce jour-là
A me rincer l 'oeil
A travers le trou de la serrure
De mon portable
Alors qu'elle finissait son bain
Et allait se sécher?
Huit millisecondes
De peep show
Qui ont effacé tous les nu non niet
Nee nein não no
Huit millisecondes
Que depuis j'essaie de visualiser à nouveau au ralenti.

En vain.
Rien n'y fait
Muse est de marbre de Carrare.
Inflexible. Intransigeante.
Décidément Muse n 'est pas exhibitionniste.

J 'ai pourtant tout fait pour l 'amadouer.
Je lui dis je veux j 'exige
je la supplie, je lui joue de ma cornemuse
je me mets à genoux, je boude
je lui promets l'enfer et le paradis
Je fais ma grosse voix
je suis saint Thomas
je ne crois que ce que je vois
J 'ai tout fait pour la convaincre.
C'est une chatte comme toutes les chattes, me dit-elle
et moi je lui réponds : non c'est une sainte chatte diablesse
Elle me parle de foi et me jure qu'on ne voit bien qu'avec le coeur.
et pas avec la queue.
Fort bien. J 'ai donc décidé
De regarder la chatte de Muse avec le coeur
Aveugle et scientifique
Au ralenti de mon télescope électronique .
Et savez-vous ce que j 'ai découvert ?
Je vous le donne en mille.
La vulve de ma muse est un vrai diaporama !
La vulve de ma muse est écomorphe !
En un mot pour faire court
La vulve de ma muse a 88 nuances de vulve !
Du mons ***** aux ***** minora
Des ***** majora au *******
des glandes de Bartholin à l 'introïtus
Ma muse c'est quatre-vingt-huit vulves en une !
Toutes de la même espèce rare de vulvae anolis
Mais aux niches, couleurs, mucus et formes fort différents
En fonction de leur environnement et de leurs prédateurs.

Quand je fais l 'iguane
et que je m'approche trop d'elle
La vulve de Muse se perche
Dans les hautes sphères de la canopée
elle est verte alors et se confond avec le feuillage
Tel un zandoli vert
bien malin qui pourrait la voir.

Lors des grosses canicules elle devient marron
elle a soif , se faufile dans le tronc des arbres
A la recherche de la fraîcheur
et s'alimente de la maigre pitance
Du latex des sapotilliers

Et quand elle fait sa sieste
Elle est blanche et noire à la fois
fantomatique et phosphorescente
et elle se pend aux branches
Et est si vulnérable
offerte à tous vents
qu'on peut la capturer
l 'identifier
la mesurer la peser la baguer
et la photographier sous toutes les coutures
avant de la relâcher dans le flot de ses rêves.

Huit millisecondes
C 'est peu pour satisfaire
Même avec les yeux du coeur
Le désir du ******
Mais c'est assez pour alimenter
Les constellations de l 'écriture
Et n 'est-ce pas cela en fait la raison d'être des Muses :
Alimenter , nourrir, susciter l 'envie...d'avoir envie ?

<p><p>Les environs magnifiques de Squaw Valley .les détails classiques avec une touche rustique par Summit Soiree.jeunes mariés tiré à quatre épingles et Virgile Bunao faire ce qu'il fait le mieux ;prendre un beau cliché après l'autre .Ce mariage va tirer droit vers le haut de votre liste de favoris .je vous le garantis .Voir beaucoup plus ici .\u003cp\u003ePartager cette superbe galerie ColorsSeasonsSummerSettingsOudoorStylesAl Fresque <p>C'était un régal pour capturer Sarah et la session d'engagement de Daniel pendant Thanksgiving 2012 à Charleston .Le temps était maintenant en train de refroidir et de s'installer de l'apogée de la chaleur fou nous avons tendance à obtenir ici .mais qui ne les empêche pas de regarder si frais et si dans l'amour .Je comptais les jours avant leur mariage  <a href="http://www.modedomicile.com/robe-demoiselle-dhonneur-c-60"><b>robe de demoiselle d'honneur</b></a>  .à photographiez des scènes qui ont eu lieu .Je ne savais pas comment époustouflé je serais au milieu de ces montagnes .Lake Tahoe est un endroit magnifique et la joie de leurs familles et l'excitation Sarah et Daniel présentait à chaque fois mon appareil photo et j'ai regardé les faits Squaw Valley incroyablement picturesque.Being si élevé .chaque centimètre de cet endroit avait une lueur intense .Tout brillait .Sarah brillait .Daniel brillait .La verdure brillait .Lors de la cérémonie .la petite niche dans les bois .nous étions à eu un peu de lumière magnifique .À ce moment .il était clair que je devais laisser à Sarah .Daniel .leurs invités .et le soleil de faire toute cette journée mémorable .Ils ont fait Photographie <p>: Virgil Bunao | planification de l'événement: . Sommet Soiree | Robe <b>robe de demoiselle d honneur pas cher</b>  de mariage: Monique Lhuillier | Cérémonie Lieu: Plump Jack Inn | Réception Lieu: Plump Jack Inn | Restauration : Plump Jack InnMonique Lhuillier est un membre de notre Look Book .Pour plus d'informations sur la façon dont les membres sont choisis .cliquez ici .Virgile Bunao photographie est  <a href="http://www.modedomicile.com/robe-demoiselle-dhonneur-pas-cher-c-20"><b>robe de demoiselle d honneur pas cher</b></a>  un membre de notre Little Black Book .Découvrez comment les membres sont choisis  <p><a href="http://modedomicile.com/goods.php?id=2423" target="blank"><img width="240" height="320" src="http://188.138.88.219/imagesld/td//t35/productthumb/1/4187435353535396606.jpg"></a></p>  en visitant notre page de FAQ .Virgile Bunao Photographie voir le</p>

Ça a été une semaine de l'absurde jolis traits .mais puis-je vous laisser sur un petit secret ?Nous aurions enregistré un des meilleurs pour la fin.Judy Pak .Loli événements et Matthew Ree sont que quelques-uns des grands noms derrière ce printemps swoonfest .et vous pouvez visiter la galerie complète pour beaucoup.beaucoup plus .Vendredi heureux .mes enfants !xoxo\u003cp\u003ePartager cette superbe galerie ColorsSeasonsSpringSettingsGardenStylesRomantic de Lauren de Loli événements .Bien que brève .printemps à New York est toujours rajeunissant et passionnant .Tout semble plus lumineux .plus heureux et tout plein de vie .Ce tournage a capturé exactement cela avec une parfaite dose de glamour et de fantaisie .Les beaux motifs des jardins d'Old Westbury était une évidence comme toile de fond .Tout y est luxuriante .réfléchi et tout simplement magnifique .Notre objectif en tant que fournisseurs de mariage de luxe était de capturer une certaine beauté grave tout en s'amusant et profiter du moment .Il est si facile de se laisser prendre et d'oublier de faire une pause et de prendre dans votre environnement .Cette séance est consacrée à créer un peu d' esprit d'aventure et un besoin de juste prendre une profonde respiration lente .

Photographie : Judy Pak | Photographie : Matthew Ree | Floral Design : Tashi et Bobo | Robe : Jenny Packham | gâteau : Ana Parzych | Coiffeur : Seonghee Park | Bridal Boutique : Gabriella New York | Location de robe : petite robe empruntée |postiches : Emily Riggs | Maquillage : Seunghyn robes demoiselles d honneur Seo de KAKABOKA | Props / table : Caverne de coquelicots et Posies | Styling / Set de table design: Loli Evénements | mariage Lieu: Old Westbury Gardens

cadeaux COURS

Dernière chance pour entrer mariage Styles Modcloth Fonds ContestHoneymoon de Registre annuel rêve SweepstakesA collier pavé de diamants disque JoyWilliams - Sonoma de voyageurs " Les jeux de Clay PotTWO de détente à DEUX SMPers chanceux de Duffield Lanea ensemble de flashcards de Apprendre à parler de mariage

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Our frequent  encounters
day after day after day
I and you would pretend
happen by mere chance.

But love lives in the sixth sense, we realize
it keeps our antennae up, even when apart
we act as if we are oblivious of that one fact.
it's this guile, that makes our love so special

A mysterious connect with
the movements of each other
like never missing the poetry of
lascivious flourish of your body
intended for me as an aphrodisiac,
yet again letting  my tender heart
to get hit by your eager beetle eyes
that'd follow me everywhere I turn
decided not to miss anyone of my desires.
I too am agile, an avid capturer
of motions of your body, mind and
effusive spirit that attach with mine
in every which way it could; I keep it alive.

Maybe someday,
When nostalgia won’t be my only friend,
When my life won’t be solitary confinement,
My mind my cell,
My body my capturer.

Maybe that day,
When i will again feel
something other than a palette of sadness,
I will tell you i am happy.

And maybe on that day
or the first time in forever,
It won’t be a lie.
But that day is not today (i’m sorry).

I am
A breaker of hearts,
An annihilator of love
A wordsmith in his own mind,
Someone who thinks they’re always right.

I am
Desirable in theory,
Not recognized in society
Quiet in the ways of my life
Someone who you’ll forget in two days time.

I am
A man of music, or was for one life
An artist of some unknown kind.
A capturer of light and moments within
A sealed vault of poetic emotion

I am
The person looking at the stars
The person counting the clouds
The person you walk right by.
The person who’s ready now.

What a miracle spins off the eyes,
Of a master capturer of colours!
For his harlot is the dancing lights-
Of a happy day's golden hours.
What with these attributing sounds-
Of a furiously futile attempt at beauty?
For what a line of poetry gets to stir-
Is foolish beside the language of images.
Words are arch enemies of colours,
Shining vibrantly on a lazy afternoon-
And of the beauty that lies in the sight-
Of the night sky with a cloudless moon.
No poem can ever stake a claim-
Of ever making hearts skip a beat
Or goosebumps riling on the necks,
As portraits of women with rosy cheeks.
If the poet sees what the sun cannot
And the best words need inspiration,
Let this be a reminder to all your faculties
That a picture is worth a thousand words.

Je suis la Muse, Ta Muse
Ta pudique, Ta sage cornemuse
Sisypha, l 'allumeuse, tisseuse de tes envies,
Je t'enflamme,
Je te seconde,
Je te féconde,
Je suis l 'idée, le mot, le rêve, l'espoir
L'image !
Je craque un mot sur le grattoir
Et la flamme jaillit, tu enfantes un monde
Le feu de ton imagination te rend fébrile

Et je savoure, je me délecte et je me décapsule
Quand sous l 'emprise de cette terrible envie de moi
Religieusement tu bandes, tu gonfles, tu te dilates
Tu brûles d'aller boire au plus profond de moi
Tu aspires à m'aspirer en toi.
J 'appuie à distance sur le détonateur
Tu exploses !

Et moi au **** je danse, je cours, je vole, je souris et je dégouline de poèmes !
Tu sais tout, tu es mon ombre
Tu m'as entendue
Tu m'as vue dans le miroir chanter le vin clairet
Tu as aperçu mes lambeaux de poèmes lubriques
Tu me cherches dans chaque enlacement passionné
Je te cherche aussi
On s'est croisé au pied du Vésuve
Je marchais insouciante
Et tu m'as appelée Gradiva.
Tu vois ?
Même si on ne se voit jamais
On se sera déjà vus !

Je suis ta Muse
Notre amour est ainsi fait
Amour-sourire de Muse et Artiste
Nous nous imbriquons l'un dans l'autre
Toi l 'artiste prodige
et moi la sublime Muse
Jamais je ne me suis doutée que j'avais les pieds aussi beaux !
C'est toi qui les as façonnés ainsi ?

Alea jacta est
C'est le destin qui m'a mis dans ta bouche
Ne te mords pas les lèvres
Accomplis tes quatre-vingt-huit travaux d'Hercule

Je suis la résille de soie grège
Que tu tisses lentement de tes doigts agiles
En mailles losanges ou carrées
Cette résille est digne des Pléiades..
Tu dévides ta navette et au fur à mesure que tu crochètes
Le filet de soie prend forme
Et se fait crespine
Je m'inquiète :

Vas-tu vouloir avec ce filet capturer
Sisypha qui palpite au creux de ma nuque
Pour la garder prisonnière de la cage
De l 'oiseau qui me picore ?

Ou vas-tu
En ceindre mes cheveux
Et les emprisonner
Dans ta tour de soie ?

Ou veux -tu que je le porte
Sous ma bombe de cavalière
chaque fois que je te chevauche
Et que je tente de dresser ta monture
Aux sabots gravés de mon monogramme ?

Ou peut-être fétichiste
Concoctes-tu derrière ces mailles
Une surprise pour Sisypha :
Un petit body décolleté en résille jaune
Et un débardeur en résille noire ?

unbothered, I cause ripples through the tide.
you, dressed in black; me, left mesmerized
our skin, different shades of the same colour
bruised and battered, though invisible to the naked eye
her skin, tight as leopard tongues for prey
leaving me without ability to forget
how you and i
lived a lifetime in a night, a second, a split

between the two, one thousand lies, one million truths
steps ahead, turned into miles behind, where we laid our fruits
and the field in which we grew
with olive garments and pleated seams
unbelievable, unbearable, incomparable love
only known from me to you, and you to me

running through my mind
the lover of my life
the capturer of my heart, held captive over time
the way my soul has grown to yearn for her
has thrown my thoughts of stubbornness,
selfishness, and sadness
clean out of mind

through love and fight
sight and touch we rushed
into one another
night, morning, until dusk
and through all fortune and misfortune
i never stopped the blush
to ask you
if i was ever enough

because there you were
new, and fresh
yet sad from beyond control
wings broken down, soul to the floor
body beautiful as ever
my mistakes stretching you to your core
no matter how far and long i loved
you'd not love me anymore.

and here i sit
miles away, days apart, frown to face
wanting to build a home, a place for (us)
somewhere safe
whoever knew that'd never be

because how safe could you ever be
if you're afraid of
loving me

and here you are
listening to me cry out every night
to you my dear, i scream and tell you how our love can be
though, there is no way that you can love me now the way we need

so i sit, all of the day
while you earn your keep
stressing myself daily, whether or not you've lied to me
whether or not, you keep on telling me that it won't work
and only say it differently, and nicer
to keep me close, for what you want me for

and that is not your lover
that is not your soulmate at all
what you want is simply, friendship
something i can't grab ahold
'for when i look into your eyes
whether here, or on the screen
i see the future we both knew and wanted
once upon a time, in between

and it is almost over.
i feel i am almost in control
i cry myself to sleep
thinking i have grown strong enough to leave you alone
and every time i type the words, that will send us our separate ways
i just can't believe that you don't want me to be yours, even when you have nothing to bring

because love is not a choice
what we want is not either, at all
if i could choose a sentence
it'd be the one that'd bring you along

though much has been said by you
and by my own tongue
all i care for now,
is to be the only one

and all of this love i show
what does it mean to you?
you are still able to post, like, follow, laugh, and love
as if you are not missing a part of you

so maybe all along
it was over before it grew
and when you said those words to me
to believe you,
made me the fool.

A cursor blinking on my screen,
Waiting for me to write my scream.
Thinking about what to write,
I had no insight.

So I wrote
About my dull day.
Jack has done all work and no play.
After a long while, I took my time off.
I took my space,
With a cup of hot tea and a rice cake.

Going back to the flashback of those happy days.
Do you remember when we sat on the beach,
Singing our songs to the voices' peak?
Waves of the ocean touching our boiled feet,
Teasing and trolling—
Can we do a repeat?

At night, when the moon chased us,
We sat on a boat, waiting for the sun to wake up.
Photos and images, I start to scroll,
Revisiting the dream on my camera roll.
Capturing the capturer from a different lens,
Then back to the hostel we went.

Oh! Do you remember the lemon soda can?
The pebbles on the sand,
A twig of dried plant in your hand?
Now these kaleidoscopic dreams fade to dawn,
Back to the screaming screen, blinking on.

These four walls that hold me,
Don’t define what I am.
Like a cage
Can’t define the animal
Stuck in it.

The capturer laughs
As I pour my heart out.
Shrieks of sour feelings,
Moans of despair.

I see all the people
Watching and poking,
Still feels like nobody’s there.

How much longer
Until I can finally fly?
I dream of the day,
But so many just go by.