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Sharina Saad Apr 2013
I saw a glimpse of her the other night
In a split second and she vanished
Into the thin air
Her movement was swift..
Just like the wind...
And she was gone...
I neither saw nor heard about her again
Not after long when ...
A little bue bird started to sing
Juliet’s Secret love affair was revealed... hot stories!!
Crude people clapped their hands,
Rumours was fastly circulated ,
Juliet was exposed as Romeo’s lover,
Secret meetings, messages exchanged,
Between the two forbidden lovers..
Talk of the town, disgraced to her family...
Devastated she couldn’t reach Romeo...
A pang of disbelief... a slap on her own face
Her hero escaped , deserted her..
He has betrayed her , called her unfaithful instead...
Juliet a sinner... people shouting in the streets...
Juliet’s heart sank... hopleless she was...
Where is Romeo .. the hero of her heart?
She fell to the ground... a sharp knife in her hand
Should I die for love she asked?
Sam Temple Apr 2016
Castelfranco Radicchio
wilted slightly
maintaining backbone
Aubergine Du Burkina Faso Eggplant
grilled in olive oil
fresh ground peppercorn
and basil
gently laid onto a delicate bed
bright green and fresh
Cour Di Bue Cabbage
Molokia Purple Sweet Potatoes
julienne and drizzled
La Vecchia Dispensa Balsamic Vinegar
aged 100 years
mingled with the brightest yellow
Amarillo Carrot and thin
rounds of a Jaune Paille Des Vertus Onion
offsetting the purples and yellows
with gleaming white –
art presents itself
as poetry
via recipe
in the fattest nation
Earth has ever known –
poetry month prompt 5
Helene Josephine May 2015
Du er udefinerbar
Du giver kun mening, når jeg placerer dig
Et sted mellem mine sansers sammenfald
Gennem kropslig perception

Du er den nerve, der danser på min læbe
En prik på grænselandets ukendte terræn
Hvor ellers kun sorg og glæde bugter sig
Mellem to mundvige

Du er den hvide bue ved roden af min negl
En betydningsnuance lige under overfladen
Så fængende for min opmærksomhed
Indtil du forsvinder

Du er følelsen lige inden mine nys
Et fremmedartet forventningsfænomen
Skønt forårsaget af ubekendt irritament
Så uforligneligt uforløst

Du er varmen fra solstrålen mod min hud
Der omfavner mig og kysser min kind
Et momentant strejf af glæde og lykke
Som stryger flygtigt forbi
I.

À présent que c'est fait, dans l'avilissement
Arrangeons-nous chacun notre compartiment
Marchons d'un air auguste et fier ; la honte est bue.
Que tout à composer cette cour contribue,
Tout, excepté l'honneur, tout, hormis les vertus.
Faites vivre, animez, envoyez vos foetus
Et vos nains monstrueux, bocaux d'anatomie
Donne ton crocodile et donne ta momie,
Vieille Égypte ; donnez, tapis-francs, vos filous ;
Shakespeare, ton Falstaff ; noires forêts, vos loups ;
Donne, ô bon Rabelais, ton Grandgousier qui mange ;
Donne ton diable, Hoffmann ; Veuillot, donne ton ange ;
Scapin, apporte-nous Géronte dans ton sac ;
Beaumarchais, prête-nous Bridoison ; que Balzac
Donne Vautrin ; Dumas, la Carconte ; Voltaire,
Son Frélon que l'argent fait parler et fait taire ;
Mabile, les beautés de ton jardin d'hiver ;
Le Sage, cède-nous Gil Blas ; que Gulliver
Donne tout Lilliput dont l'aigre est une mouche,
Et Scarron Bruscambille, et Callot Scaramouche.
Il nous faut un dévot dans ce tripot payen ;
Molière, donne-nous Montalembert. C'est bien,
L'ombre à l'horreur s'accouple, et le mauvais au pire.
Tacite, nous avons de quoi faire l'empire ;
Juvénal, nous avons de quoi faire un sénat.

II.

Ô Ducos le gascon, ô Rouher l'auvergnat,
Et vous, juifs, Fould Shylock, Sibour Iscariote,
Toi Parieu, toi Bertrand, horreur du patriote,
Bauchart, bourreau douceâtre et proscripteur plaintif,
Baroche, dont le nom n'est plus qu'un vomitif,
Ô valets solennels, ô majestueux fourbes,
Travaillant votre échine à produire des courbes,
Bas, hautains, ravissant les Daumiers enchantés
Par vos convexités et vos concavités,
Convenez avec moi, vous tous qu'ici je nomme,
Que Dieu dans sa sagesse a fait exprès cet homme
Pour régner sur la France, ou bien sur Haïti.
Et vous autres, créés pour grossir son parti,
Philosophes gênés de cuissons à l'épaule,
Et vous, viveurs râpés, frais sortis de la geôle,
Saluez l'être unique et providentiel,
Ce gouvernant tombé d'une trappe du ciel,
Ce césar moustachu, gardé par cent guérites,
Qui sait apprécier les gens et les mérites,
Et qui, prince admirable et grand homme en effet,
Fait Poissy sénateur et Clichy sous-préfet.

III.

Après quoi l'on ajuste au fait la théorie
« A bas les mots ! à bas loi, liberté, patrie !
Plus on s'aplatira, plus ou prospérera.
Jetons au feu tribune et presse, et cætera.

Depuis quatre-vingt-neuf les nations sont ivres.
Les faiseurs de discours et les faiseurs de livres
Perdent tout ; le poëte est un fou dangereux ;
Le progrès ment, le ciel est vide, l'art est creux,
Le monde est mort. Le peuple ? un âne qui se cabre !
La force, c'est le droit. Courbons-nous. Gloire au sabre !
À bas les Washington ! vivent les Attila ! »
On a des gens d'esprit pour soutenir cela.

Oui, qu'ils viennent tous ceux qui n'ont ni cœur ni flamme,
Qui boitent de l'honneur et qui louchent de l'âme ;
Oui, leur soleil se lève et leur messie est né.
C'est décrété, c'est fait, c'est dit, c'est canonné
La France est mitraillée, escroquée et sauvée.
Le hibou Trahison pond gaîment sa couvée.

IV.

Et partout le néant prévaut ; pour déchirer
Notre histoire, nos lois, nos droits, pour dévorer
L'avenir de nos fils et les os de nos pères,
Les bêtes de la nuit sortent de leurs repaires
Sophistes et soudards resserrent leur réseau
Les Radetzky flairant le gibet du museau,
Les Giulay, poil tigré, les Buol, face verte,
Les Haynau, les Bomba, rôdent, la gueule ouverte,
Autour du genre humain qui, pâle et garrotté,
Lutte pour la justice et pour la vérité ;
Et de Paris à Pesth, du Tibre aux monts Carpathes,
Sur nos débris sanglants rampent ces mille-pattes.

V.

Du lourd dictionnaire où Beauzée et Batteux
Ont versé les trésors de leur bon sens goutteux,
Il faut, grâce aux vainqueurs, refaire chaque lettre.
Ame de l'homme, ils ont trouvé moyen de mettre
Sur tes vieilles laideurs un tas de mots nouveaux,
Leurs noms. L'hypocrisie aux yeux bas et dévots
À nom Menjaud, et vend Jésus dans sa chapelle ;
On a débaptisé la honte, elle s'appelle
Sibour ; la trahison, Maupas ; l'assassinat
Sous le nom de Magnan est membre du Sénat ;
Quant à la lâcheté, c'est Hardouin qu'on la nomme ;
Riancey, c'est le mensonge, il arrive de Rome
Et tient la vérité renfermée en son puits ;
La platitude a nom Montlaville-Chapuis ;
La prostitution, ingénue, est princesse ;
La férocité, c'est Carrelet ; la bassesse
Signe Rouher, avec Delangle pour greffier.
Ô muse, inscris ces noms. Veux-tu qualifier
La justice vénale, atroce, abjecte et fausse ?
Commence à Partarieu pour finir par Lafosse.
J'appelle Saint-Arnaud, le meurtre dit : c'est moi.
Et, pour tout compléter par le deuil et l'effroi,
Le vieux calendrier remplace sur sa carte
La Saint-Barthélemy par la Saint-Bonaparte.

Quant au peuple, il admire et vote ; on est suspect
D'en douter, et Paris écoute avec respect
Sibour et ses sermons, Trolong et ses troplongues.
Les deux Napoléon s'unissent en diphthongues,
Et Berger entrelace en un chiffre hardi
Le boulevard Montmartre entre Arcole et Lodi.
Spartacus agonise en un bagne fétide ;
On chasse Thémistocle, on expulse Aristide,
On jette Daniel dans la fosse aux lions ;
Et maintenant ouvrons le ventre aux millions !

Jersey, novembre 1852.
LA Hall Nov 2013
The sky is clear & bue,
sea aqua to the horizon—
a shark thuds the hull.
Madame, on dit que les bons comptes
Font les bons amis. Soit, comptons...
Comme dans les comptes des contes,
Par bœufs, par veaux et par moutons ;

Pris un jour une cigarette
De vous, dois : quatre-vingt-dix bœufs ;
À ton bouquet, une fleurette,
Peut-être une, peut-être deux,

Dois : quatre-vingts bœufs ; pour l'essence
Que ta lampe brûlait la nuit,
Mille moutons que je recense
Près du berger que son chien suit.

Pris à ta cuisine adorable
Un bout de pain, un doigt de vin,
Dois : une vache vénérable
Avec sa crèche de sapin.

Mangé sept de tes souveraines
Et célestes pommes au lard,
Dois : le taureau, roi des arènes,
Le plus férocement couillard.

Pour ton savon d'un blanc d'ivoire,
Je conviens qu'en l'usant, j'eus tort,
Dois : tous les veaux du champ de foire
Qui prononcent ME le plus fort.

Marché, la nuit, dans ta chaussure
Dont j'aplatissais le contour,
Dois : le prince de la luxure,
Le bouc le plus propre à l'amour.

Pour l'eau bue à ta cruche pleine,
La nuit, sur ton lit sans rideau,
Dois : le bélier avec sa laine
Le plus vigoureux buveur d'eau.

Pour le retour de tes semelles
Sur les trottoirs de ton quartier,
Dois : la chèvre dont les mamelles
Allaiteraient le monde entier ;

Pour ta clef tournant dans ta porte
Dois, avec les champs reverdis,
Tout agneau que la brebis porte,
Sans compter ceux du paradis.

Constatez mon exactitude,
Voyez si j'ai fait quelque erreur,
Quand on n'a guère d'habitude,
On ne compte pas sans terreur.

Hélas ! oui, sans terreur, madame,
Car je n'ai ni bœufs, ni moutons,
De veaux que les vœux de mon âme,
Et ceux-là, nous les omettons.

Penserez-vous que je lésine,
Si je reste, j'en suis penaud,
Le maquereau de Valentine...
Quelle Valentine ?... Renault.

Quoi ! je serais de la famille !
Bon ! me voilà joli garçon !
Ça ne vient pas à ta cheville...
Et c'est un bien petit poisson.

Que ce maquereau qu'on te donne...
Mieux vaudrait... un coq sur l'ergot...
Tiens, mettons Dauphin, ma Mignonne,
C'est la même chose en argot.

Entre Montmartre et Montparnasse,
L'enfant de la place Maubert,
Pour ces beaux messieurs de la Nasse
Dit : Dos, on Dos fin, ou Dos vert.

Dauphin, c'est ainsi que l'on nomme
Le fils d'un roi... D'ailleurs, je sais
Assez distinguer un nom d'homme
Du nom d'un port... en bon français.

Pourtant... Dauphin ne sonne guère,
Maquereau, lui, qu'il sonne bien !
Il vous a comme un air de guerre,
Et fait-on la guerre avec rien ?

Il sonne bien, tu le confesses,
(Tant pis si vous vous étonnez)
Comme une claque sur vos fesses,
De la main de qui ? devinez.

De ton mari ?... Vous êtes fille.
De ton amant ? de ton amant !
Ah ! Vous êtes bien trop gentille
Pour chérir ce nom alarmant.

De ton homme ? Il n'est pas si bête.
Devinez, voyons, devinez...
Eh !... de la main de ton poète
Plus légère... qu'un pied de nez !

Oui, ça ne fait bondir personne ;
Dauphin, c'est mou, c'est ennuyeux,
Tandis que : Maquereau ! ça sonne !
Décidément, ça sonne mieux !
Sharina Saad Jun 2013
A grand dinner at Park Royale
Mingling with the aristocrats
the celebs and the royals
was introduced to a goldsmith
showing off her 24.4USD
fancy bue grey diamond ring..
she mentioned her name
gave a card written Jacob & Co
i am impressed same time i felt too small
when she asked me what I did for a living..
Unsure whether to be proud or shy...
told her i am simply a wordsmith
i write words of love and of virtues
Astonished.... she looked at me... amused and confused
WORDSMITH? She asked for my business card but i gave her this site
http://hellopoetry.com/write/poem/
she rolled her pretty eyes again
her diamonds shine...
my shy eyes met  her questioning eyes...
and I slowly bowed and said...
"if you can't find me anywhere"
you shall meet my words
even if I die today or tomorrow
my poetry remains....
i am a wordsmith forever i shall be
the gold is in my words the carat 30.11
is me.
no profit will it make understand the
written word.
your ring will be forgotten in the years to come
my words will still be read ,the perfect word
will never die
just promise you will never stop writing ..it,s important to never let poetry die the next generation must be as fired up and passionate as we are. i love the use and sound of the word "word smith" this has only one meaning to me ,and this is the sound of words when correctly put together form something quite beautiful. (Ken George Newman, 2013)
ponny jo Oct 2013
a white eye
saw a bue eye
a pea in a od
white wondered why
blue spoke a hidden cry
white lived and oved
we're killed in the mud
now white has fear
and cant hear blue die
there was a little bat he was very sad
he had lost his sonar the only one he had
now with no direction he couldnt get around
now he couldnt fly and  would have to stay on ground
spotted by the others who could see that he was bue
they all went to him to see what they could do
they all searched around to find his sonar ray
it was in a hole hidden out the way
they gave it to the bat  now could he fly once more
and no longer  spend his life walking round the floor
Juniper Zed Mar 2018
Le mie ossa sono state rotte
Dal martello pesante
Forgiato dei miei peccati
E pesato per l’energia vitale
Immagazzinata dentro me.

Ciononostante,
Non esiste una minaccia come me
Con la potenza del bue
E con il cuore del leone
Che vagheggia uno scopo senza fine.
E senza fine, vagheggerà lo scopo.
Nos repas sont charmants encore que modestes,

Grâce à ton art profond d'accommoder les restes

Du rôti d'hier ou de ce récent ***-au-feu

En hachis et ragoûts comme on n'en trouve pas chez Dieu.


Le vin n'a pas ce nom, car à quoi sert la gloire ?

Et puisqu'il est tiré, ne faut-il pas le boire ?

Pour le pain, comme on n'en a pas toujours mangé,

Qu'il nous semble excellent me semble un fait archijugé.


Le légume est pour presque rien, et le fromage :

Nous en usons en rois dont ce serait l'usage.

Quant aux fruits, leur primeur ça nous est bien égal,

Pourvu qu'il y en ait dans ce festin vraiment frugal.


Mais le triomphe, au moins pour moi, c'est la salade :

Comme elle en prend ! sans jamais se sentir malade,

Plus forte en cela que défunt Tragaldabas,

Et j'en bâfre de cœur tant elle est belle en ces ébats,


Et le café, qui pour ma part fort m'indiffère,

Ce qu'elle l'aime, mes bons amis, quelle affaire !

Je m'en amuse et j'en jouis pour elle, vrai !

Et puis je sais si bien que la nuit j'en profiterai.


Je sais si bien que le sommeil fuira sa lèvre

Et ses yeux allumés encor d'un brin de fièvre

Par la goutte de rhum bue en trinquant gaîment

Avec moi, présage gentil d'un choc bien plus charmant.
drink in through bue waters
remember the Apache hoof
stay closer to the water
take another look

shine your elegant variation
as if through a dream
clear the warm clear ******
amidst its cuisine

we grow closer as if shadows
pierciing skulls left through the vine
another chosen vine
created by a masterful design

Calling Under Dog
the host of all that appeals
sit in the silence
stake its honest claim

in ancient leads to help unknown
through pardon pleasure
above the sky
out of every generation

a scent of lavender toast
in trust we roast
being careful to a shroud
zzzz... I breath in sullen apathy

love shall shine
out of the immense explosion in the mind
fill up my senses
A Goodman Writes Dec 2020
In a flash
A piece of light's glory
Tears a streak
Through the dimmed bue-grey sky
For a moment
I am entranced
By this brilliant luminous stroke
Charging to life its dull canvass
jeffrey conyers Aug 2018
Over the years, we have had some bright, some stupid and some dumb leaders in the oval offices.

And a few that fans racism to the left behind afraid to adjust to a changing society.

Bue scriptures state some that have no wisdom has no knowledge for one without the other hurts that certain someone.

Then we got him.
Who barely has any?
Probably can't spell without a dictionary.
But conning the less.

We know false prophets all dress up can fool many.
And we got him and we can't fool others into been seen as legitimate.

Attack those that disagree.
And they can be within his own party.
He can't go to church without comprehending his truth.
Please, if he attends like all the others don't let him read a scripture.

For now, we got him.
Unlike others I doubt he wins again.

— The End —