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Dutch  Mar 2020
Ganache
Dutch Mar 2020
It is too late now
Our chocolate has become ganache
raen Apr 2012
You are my sun, the planets and the asteroids in between,
actually, make that the energy that embraces the sun,
the elements and trace elements that make up each planet...

(Oh, my stars!)

You are each perfect petal that unfurls ever so slowly in the morning light,
actually, make that the light that kisses each dew drop which
awakes each petal with that sweet kiss...

(Oh, blush, my buzzing bee!)

You are that raindrop that refreshes my parched soul that's stranded in a desert,
actually, make that the mirage that proves to be an oasis
as my eyes widen in wonderment with the reality of You.

(Oh, shucks, my sweet breath!)

You are my golden compass whenever I get lost in the wilderness,
actually, I wouldn't mind getting lost, if it means
that I get lost in your soulful, beautiful eyes Forever

(Oh, you cheeseball, you!!)

You are the chocolate ganache frosting on that chocolate cake,
actually, you are the powdered sugar on my honey-dipped doughnut
that brushes my lips, the perfect complement for hot, hot coffee

(Oh, honey bun!!)

You are the--

Sweetcakes??

You are the freshly ground pepper that dusts softly on my carbonara, I'm just

Ahem!!!!

You are the freshly ground pepper that dusts softly on my carbonara,
actually it would be bland and incomplete without you and---

Hey, babe!

huh?!

I'm on dense mode right now, what are you really trying to say?
Come on, spill it, I NEVER hear it from you...



Ummm, ummm...I...I...

I mean, I--


Out with it, come on!! You can do it---"I...."

Hoo! Ok, I...

I can do this---

I...

(Note to self: This is IT!!!!!)

I--

Yesss...?!!

I
am
    the empty, wanting glass and you are the refreshing drink that fills me up,
actually,--

~BOINKKKKKkkK~ !! I'm walking away now!!
Geez, if you can't say IT without all the Fluffy, duffy, Fluff,
see me walking away for now...I need the Skinny, the skeleton!
Sometimes one just needs to Hear it, you know?!
Oh, and I love you,in case you didn't know...but see me walk!


Hey, honey bunny, smoochie sweetie pie?

...still walking away~~~~

I...

huff, huff, huff~~

I am walking towards you...

Huff, puff, puff and hufff~! (note to self: Walk on, walk on...)

I said I'm walking towards you...

~bump~!

and

I...
   Love
         You.
Doe Eyes.
Oh, how I fear doe eyes!
Those **** azure, chameleon, black, coffee
Doe Eyes Doe Eyes Doe Eyes
Duh Eyes.

Shatter my centre
Realize your lies
The girl with doe eyes

Soft marshmellows
Cups of cream
Pink little miss
It's a hit they'll never miss.

OH, doe eyes, doe eyes, why?

Punishments of all
A dark mantle we revel

I fear the innocent
Untouched

Paper napkins
Easily crushed
Blood on velvet
Blood on cream
Ganache.
Tortured ****.

Edinburgh/London/New York/Vancouver await me.
Victor Hugo  Jun 2017
Anima vilis
À force d'insulter les vaillants et les justes,
À force de flatter les trahisons augustes,
À force d'être abject et d'ajuster des tas
De sophismes hideux aux plus noirs attentats,
Cet homme espère atteindre aux grandeurs ; il s'essouffle
À passer scélérat, lui qui n'est que maroufle.
Ce pédagogue aspire au grade de coquin.
Ce rhéteur, ver de terre et de lettres, pasquin
Qui s'acharne sur nous et dont toujours nous rîmes,
Tâche d'être promu complice des grands crimes.
Il raillait l'art, et c'est tout simple en vérité,
La laideur est aveugle et sourde à la beauté.
Mais être un idiot ne peut plus lui suffire,
Il est jaloux du tigre à qui la peur dit : sire !
Il veut être aussi lui sénateur des forêts ;
Il veut avoir, ainsi que Montluc ou Verrès,
Sa caverne ou sa cage avec grilles et trappes
Dans la ménagerie énorme des satrapes.
Ah çà, tu perds ton temps et ta peine, grimaud !
Aliboron n'est pas aisément Béhémoth ;
Le burlesque n'est pas facilement sinistre ;
Fusses-tu meurtrier, tu demeurerais cuistre.
Quand ces êtres sanglants qu'il te plaît d'envier,
Mammons que hait Tacite et qu'admire Cuvier,
Sont là, brigands et dieux, on n'entre pas d'emblée
Dans leur épouvantable et royale assemblée.
Devenir historique ! Impossible pour toi.
Sortir du mépris simple et compter dans l'effroi,
Toi, jamais ! Ton front bas exclut ce noir panache.
Ton sort est d'être, jeune, inepte ; et, vieux, ganache.
Vers l'avancement vrai tu n'as point fait un pas ;
Tu te gonfles, crapaud, mais tu n'augmentes pas ;
Si Myrmidon croissait, ce serait du désordre ;
Tu parviens à ramper sans parvenir à mordre.
La nature n'a pas de force à dépenser
Pour te faire grandir et te faire pousser.
Quoi donc ! N'est-elle point l'impassible nature ?
Parce que des têtards, nourris de pourriture,
Souhaitent devenir dragons et caïmans,
Elle consentirait à ces grossissements !
Le ver serait boa ! L'huître deviendrait l'hydre !
Locuste empoisonnait le vin, et non le cidre ;
L'enfer fit Arétin terrible, et non Brusquet.
Un avorton ne peut qu'avorter. Le roquet
S'efforce d'être loup, mais il s'arrête en route.
Le ciel mystérieux fait des guépards sans doute,
De fiers lions bandits, pires que les démons,
Des éléphants, des ours ; mais il livre les monts,
Les antres et les bois à leur majesté morne !
Mais il lui faut l'espace et les sables sans borne
Et l'immense désert pour les démuseler !
Le chat qui veut rugir ne peut que miauler ;
En vain il copierait le grand jaguar lyrique
Errant sur la falaise au bord des mers d'Afrique,
Et la panthère horrible, et le lynx moucheté ;
Dieu ne fait pas monter jusqu'à la dignité
De crime, de furie et de scélératesse,
Cette méchanceté faite de petitesse.
Les montagnes, pignons et murs de granit noir
D'où tombent les torrents affreux, riraient de voir
Ce preneur de souris rôder sur leur gouttière.
Un nain ne devient pas géant au vestiaire.
Pour être un dangereux et puissant animal,
Il faut qu'un grand rayon tombe sur vous ; le mal
N'arrive pas toujours à sa hideuse gloire.
Dieu tolère, c'est vrai, la création noire,
Mais d'aussi plats que toi ne sont pas exaucés.
Tu ne parviendras pas, drôle, à t'enfler assez
Pour être un python vaste et sombre au fond des fanges ;
Tu n'égaleras point ces reptiles étranges
Dont l'œil aux soupiraux de l'enfer est pareil.
Tu demeureras laid, faible et mou. Le soleil
Dédaigne le lézard, candidat crocodile.

Sois un cœur monstrueux, mais reste une âme vile.
Vivian  Sep 2015
antidote
Vivian Sep 2015
I only love you when I'm sober,
so I've been high for, about, I'd say
2.27 weeks?? wild, I know. what
can I say? I just
hate being alone with
the mere thought of you,
cloying and *******, ecstasy
in my endorphins. Newport on my lips
and nicotine in my system; emotions
encased in agar, Petri dish replicants.
sugar skulls crushed beneath timbs and
honey beneath my cuticles and
white wine in the freezer frosting up.
chocolate ganache sealing my tongue
like a sarcophagus and I'm daydreaming
about halcyon days gone by
screaming along to the radio in
your sunsoaked two-seater.

— The End —